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LA VOIX DE L'ÉCHO

POUR LE PLAISIR DE TOUS: AUTEURS, LECTEURS, AUDITEURS...
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lundi 21 décembre 2015

POUR LOUYSE LARIE, UN BOUQUET DE CIGALES, UN BOUQUET D'AMITIÉS

La voix de Louyse a souvent enchanté l'Écho. Généreusement présente à chacun de mes appels au "Bouquet de voix"  avec toujours beaucoup d'enthousiasme. Écoutez plutôt...


SOUS CHAQUE IMAGE SE CACHE UN LIEN


Cela commence par sa présentation chantante !


Il était une fois une Dame "cigalante"...






appréciant beaucoup les textes mis en voix et donc ces fameux bouquets de voix amicaux,  prônant ainsi l'échange et le partage entre auteurs rencontrés ici et là sur la toile. Voici sous chaque image ci-dessous, les lectures participatives de Louyse offertes à l'Echo :


Pour JAVA, Louyse interprète son texte MES NUITS






Pour MATHIEU JAEGERT, Louyse interprète son texte : ELLE EN VOIX






Pour EVELYNE DE GRACIA, Louyse interprète son texte : FAIRE CONFIANCE AVEUGLEMENT








Pour Bébé Lenny, le petit-fils de sa très chère amie Evelyne, Louyse interprète son propre texte BÉBÉ LENNY S'EN VA-T-EN GUERRE







Pour EVE ZIBELYNE, Louyse interprète SOURIS, SOT!




LA CIGALE 
Illustration de Zib - TOUS DROITS RÉSERVÉS 




Pour AUBREE, Louyse interprète son texte HABIA UNA VEZ







Pour EMECKA, Louyse interprète son texte ELLE NE ME LÂCHE PAS







En duo, un sketch écrit par Louyse que nous nous sommes beaucoup amusées à interpréter, une à l'Ouest et l'autre au Sud de la France ! L'ÂNE A GRAMMES 








Un superbe cadeau pour moi ... MATIN D'AQUARELLE,  des fleurs et des mots créés et lus par Louyse à mon attention







FLEURS D'IVOIRE - AQUARELLE DE LOUYSE LARIE - TOUS DROITS RÉSERVÉS 



Retrouvez aussi la voix de Louyse parmi les interprètes de ce bouquet de la DANSE DES JOURS ET DES MOTS de MARCEL FAURE








LOUYSE a reçu quant à elle, avec grand bonheur, un très beau bouquet de voix de la part de certains de ses amis auteurs : NAÏADE, MATHIEU LA MANNA, JAVA, AUBRÉE, EVELYNE DE GRACIA, et moi bien sûr !









EVE ZIBELYNE a interprété le texte de Louyse A L'OMBRE DU PONT 





LE PONT - AQUARELLE DE LOUYSE LARIE - TOUS DROITS RÉSERVÉS





Et EVELYNE DE GRACIA, le texte de Louyse ON PASSERA DES LUNES







Croquis caricaturé d'un enfant ébauché au stylo bille en 10 mn par LOUYSE LARIE - TOUS DROITS RÉSERVÉS





RETROUVEZ les autres textes de Louyse offerts à l'ÉCHO dans L' ECHOTHEQUE K-Z

ÉGALEMENT sur les sites IPAGINATION - très beau portrait d'Auteur par Amaranthe, SHORT EDITIONS, VARIATIONS D'UNE PLUME



Permettez-moi de glisser un texte que j'avais écrit
 sur une invitation sur iPagination du peintre LOUYSE LARIE à laisser courir notre imagination sur une de ses aquarelles. J'avais pris beaucoup de plaisir avec son accord, à créer une histoire entre toutes les toiles de Louyse que j'avais trouvées sur iPagination. 
Cela s'intitule : LES COULEURS LOUYSENT




Portrait de MUSE AFRICAINE - AQUARELLE DE LOUYSE LARIE - TOUS DROITS RÉSERVÉS






Ce bouquet ne serait pas complet sans vous que je remercie chaleureusement pour votre visite. Un "j'aime", un partage, peut-être un commentaire, chaque signe de vous sera une jolie fleur à ce Bouquet pour Louyse ...






AILLEURS - AQUARELLE DE LOUYSE LARIE - TOUS DROITS RÉSERVÉS


et Ici,

 le chemin qui mène à la vidéo de NAÏADE, LA-BAS


mardi 27 janvier 2015

ALIZA CLAUDE LAHAV - LE RETOUR










Le retour





C'est au mois d'août 2003 que je suis retournée sur les traces de mon enfance. J'ai marché dans cette cité, celle des trois bornes, Paris onzième, qui a changé et qui est restée la même. J'ai marché, tête baissée, cherchant vainement les pavés anciens où j'ai sauté à cloche-pied des centaines de fois, enfouis dans ma mémoire et sous le nouvel asphalte. Tout au fond de la cité, le dernier immeuble à gauche, le numéro 11, n'a pas changé; il est toujours là, intact. Ma maison, mon passé, mes racines chancelantes perdues dans le temps.

J'ai quitté cette cité il y a soixante ans. Le petit matin sombre de notre départ est encore ancré dans mon souvenir. Ce n'est pas un départ mais une fuite, la tête rentrée dans les épaules, les yeux baissés, je ne vois que des bottes de cuir et quelques paires de souliers noirs qui montent vers nous, ma mère et moi. Je tremble de peur sans savoir exactement pourquoi, je serre très fort la main de ma maman. Je suis une naufragée, une rescapée de la rafle de juillet 1942. Inscrits dans mon corps de petite fille, les tremblements sont toujours là, à fleur de peau, dans une mémoire qui est hors de la logique.

Depuis l'année 1942, je suis revenue en ces lieux trois ou quatre fois, mais c'est la première fois que je m'y retrouve entourée de mes fils, leurs femmes et enfants; ma descendance, mes nouvelles racines. Ils sont là, curieux et silencieux, intéressés par tout ce qu'ils voient, par tout ce qu'ils pressentent. 

La cité des trois bornes n'est pas un endroit de passage, elle n'a qu'une issue qui donne sur la rue du même nom; située entre l'avenue Parmentier et l'avenue de la République, c'est un cul-de-sac. Tout est calme, pas de circulation, très peu de passants en ce début d'après-midi, qui observent notre petite troupe avec curiosité.

Je m'adosse au mur en face du numéro 11, à l'endroit même où j'ai joué à la marelle tant de fois. Je lève la tête, montre du doigt, au quatrième étage, les deux dernières fenêtres sur la droite : la chambre à coucher de mes parents et l'atelier de mon père. Mes enfants sont près de moi, je vais d'un regard à l'autre, je détecte le trouble, les questions qui, sans doute, sont là depuis toujours, cachées au fond de leurs prunelles. Tout à coup cela devient très facile de parler, de leur conter une partie de leurs antécédents, puisqu'ils sont venus " après " et qu'ils ont appris, comme tous les enfants en Israël, la Shoah à l'école. 

Je leur chantais, lorsqu'ils étaient petits, et plus tard à leurs enfants, les comptines que me fredonnait ma mère. Je disais l'odeur du tabac, mêlée à celle de la savonnette, aussi présente que les bras de mon père autour de moi. Je plaisantais à propos des moqueries de mes sœurs aînées. Je décrivais les repas de famille, les fous rires, les câlins, les petits secrets chuchotés au-dessus de ma tête, puisque j'étais la plus jeune, leur petite Claudine, Didine. Je disais aussi les difficultés de la vie mais jamais ceux de la guerre.

Leur père, mon mari-ami, faisait de même, lui qui, dans un pays encore plus dément que le mien, avait traversé une guerre si pénible... nous pensions les préserver, ces enfants réparateurs. Et surtout, nous étions occupés à vivre, projetés dans le futur, animés par un désir de reconstruction, essayant d'occulter l'impensable.

Devant cette maison, où je n'ai plus jamais habité depuis l'âge de neuf ans, je trouve des mots simples pour dire les petites choses de la vie, qui sont parfois essentielles, mais aussi les départs, les séparations, les angoisses, les attentes, les pleurs, les faux noms, les caches. La clandestinité précoce. Et le désarroi d'une petite fille qui ne comprend pas pourquoi être juif est si mal et pourquoi il faut s'en cacher.

11 Cité des trois bornes. Devant cette maison, dans la cour de cet immeuble, je me sens à l'aise, presque heureuse, réconciliée avec ces murs, satisfaite de mon cheminement. Mes enfants, près de moi, sont ma vengeance contre le racisme de tout ordre et de toute forme. Ils sont ma réparation, un baume sur mes déchirures, blessures cicatrisées mais encore douloureuses les jours d'orage. 

J'écris ces dernières lignes… à la radio un speaker à la voix chevrotante, annonce les noms des dix-neuf morts de l'attentat qui a eu lieu hier à Haïfa.

Dix-neuf noms avec les âges, cela fait une longue liste… 

Ça ne finira donc jamais ? Nous sommes le 5 octobre 2003, il est 11h40, dehors il fait un temps splendide, le soleil brille, haut dans le ciel. Quel jour d'orage !

©Aliza Claude Lahav

Octobre 2003

Texte à retrouver sur le site d'Aliza




Un texte sincère, profond et très émouvant, qu'aujourd'hui 27 janvier 2015 - 70 ème anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz, ma très chère amie Aliza offre généreusement à ma voix. Merci d'être mon amie.

Le dernier paragraphe sonne bien cruellement en ce début d'année meurtrier. 




jeudi 8 janvier 2015

JEUDI NOIR JEUDI ESPOIR - Au lendemain du 7 janvier 2015


BANDE AUDIO D'INTRODUCTION ICI


Il sont très nombreux les messages qui m'ont touchée en ce lendemain du 7 Janvier 2015

Mais particulièrement ceux-ci...

CLIQUER SUR LES LIENS EN BLEU OU VERT





Cette palette "Silence noir" de EmeckaMK qui exprime exactement ce que nous sommes très nombreux à avoir ressenti et ce moment d'horreur, figé à jamais dans nos mémoires

Veuillez cliquer sur l'image pour lire le poème associé


Silence noir- propriété EmeckaMK



Et cette citation de Mathieu Jaegert dès hier:

La plume, le crayon, la création, l'expression : larme absolue aujourd'hui, l'arme absolue demain



Enfin ces deux mots présidentiels

RASSEMBLONS-NOUS

qui quelques soient nos opinions politiques me donnent espoir, en ce jeudi si noir...




Voici pour terminer en donnant la parole aux dessins, le lien de 

L'hommage des dessinateurs à Charlie








































Douze bougies pensées...



Même si elles ne correspondent pas à l'humour si regretté, j'y exprime tout mon respect pour tous ces Hommes  garants de notre Liberté








Cinq bougies encore...



    

Profond Respect et recueillement...

Sincères condoléances à toutes les familles si injustement touchées et privées des leurs, de manière si cruelle et si abjecte. 

Pensées et soutien également aux personnes blessées et traumatisées.


Le nom de ces dix-sept victimes:

Stéphane Charbonnier alias Charb, Cabu, George Wolinski ,Tignous et Honoré. L'économiste Bernard Maris. Mais aussi un correcteur, Mustapha Ourrad, ainsi que deux autres collaborateurs : Elsa Cayat et Frédéric Boisseau. Invité de la rédaction de Charlie Hebdo, Michel Renaud a également été abattu. Ancien directeur de cabinet du maire de Clermont-Ferrand. Deux policiers ont également trouvé la mort à Charlie. Franck Brinsolaro du service de protection des personnalités, affecté à la protection de Charb, et Ahmed Merabet., rattaché au commissariat du 11e arrondissement. TUES MERCREDI

Clarissa Jean-Philippe, policière municipale de Montrouge, âgée de 26 ans, tuée alors qu'elle était en patrouille. TUEE JEUDI

Yoav Hattab, Philippe Braham, Yohan Cohen, François-Michel Saada ont péri porte de Vincennes quand Coulibaly a pris d'assaut l'Hyper Casher.TUES VENDREDI.



Frédéric, Cabu, Charb, Ahmed, Elsa, Clarissa, Yohav, Philippe... Les 17 victimes des attentats

Cliquez sur l'image pour découvrir l'article de L'OBS et découvrir un peu de chacun...







*Un bel écho, cette coïncidence de prénom, à tous les messages d'Elsa Saint Hilaire partagés généreusement et sans relâche depuis hier sur cette tragédie qui "assassine" nos valeurs communes. (Merci à elle d'avoir accepté en signe de soutien de ne pas publier les carnets secrets ce jeudi.)





dimanche 7 décembre 2014

STÉPHAN MARY/LE ZÈBRE - VOTRE VOIX DÉSIRÉE


CLIQUER SUR LA VIDÉO SONORE





Vidéo réalisée par l'auteure Stéphan Mary/Le Zèbre



Votre voix désirée



Vos cordes vocales maligne
Vous avez su me faire écouter
Cette complainte en sourdine
Du désir muet d'être enlacée

Je vous imagine câline 
Dans l'espace sonorisé
Par votre voix sublime
Nos émotions accordées

Graves et aigus susurrés
Par tant de sons entrelacés
Le plaisir auditif si insensé
D'un contre-ut jamais achevé

Les vocalises harmonieuses réinventées
Le désir fou de vos silences inavoués
Permettez moi en cet instant endiablé
Dans vos notes me couler me passionner

Je vous convie à ne pas vous offusquer
De trop de plaisir-désir ne puis me libérer
Et votre chant n'ai pas envie de quitter
Car enfin par votre voix je suis subjugué

De tant d'amour pour vous suis prisonnier
Lorsqu'en vous sincère je reste émerveillé 
Sachez ma fée que jamais je n'ai murmuré
Ce verbe adoré Aimer pour vous réinventé

Le peintre ne peut pas peindre la voix
Qu'elle soit contre alto ou soprano
Mais reproduire et parfaire le tableau
Le peintre peint ce qu'il entend et voit

Pour vous la lune j'irai décrocher 
Laissant mes pastels à vos pieds
Tel un arc en ciel de notes posées
Dans un opéra stellaire jamais saturé

Les astres en canon composeront
Un hymne à l'amour sans partition
Vous laissant la liberté d'une création
Pour une symphonie d'improvisations

Vous femme cantatrice inclassable éternelle
Qui exposez sans gêne ces sons si sensuels
Votre semi-nudité vocalisée vous m'offrez

Comme écho fatal d'une sirène fantasmée 



Texte protégé et déposé 
sur le site iPagination



Nous ne saurions nous quitter ainsi...


Alors ! Cliquez une voix encore !








mercredi 1 octobre 2014

LILIANE COLLIGNON - On lui devait bien une Journée spéciale: Mathieu le bandit littéraire




MISE EN VOIX ELSA






Montage d'une photographie personnelle de   de Elsa (sa présentation sur VOTRE ECHO) 
avec l' avatar de Liliane et son bandit littéraire Mathieu sous le bras !





On lui devait bien une Journée spéciale: 

Mathieu le bandit littéraire




Il dit de lui « qu'il empile les mots » et qu'il manie L'Art de l'évitement lexical ; Il jongle avec eux, plus encore, il les démonte, les dissèque, les croque comme un observateur planté devant les décors offerts à sa sagacité en train de les dessiner ou de les peindre. Car Mathieu Jaegert est un homme du présent, du réel, du concret, un impressionniste sensible aux ambiances, aux régions et à leurs habitants ? des Cévennes à l'Alsace en passant par le Bretagne- il observe, écoute, commente.

On dit de lui qu'il est un bandit, non pas un bandit de grand chemin ! Un bandit littéraire celui de L'Alsace vue par un bandit dénué cette fois de mauvaise foi ! Il met le doigt ou la plume là où cela dérange, au plus près des hommes, tous semblables en apparence « Mais encore faudrait-il qu'ils se comprennent ! » Entre dialectes, tournures, accents, différentes spécialités culinaires et autant de mentalités, qu'y a-t-il de commun entre eux ? Je vous le donne en mille? 
Le Guide Universel des Journées Nationales, Internationales et Mondiales ! Des plus officielles aux plus farfelues « les Journées mondiales des zones humides, la Journée sans Facebook, côtoient la Journée Internationale pour Colmar, ville la plus sèche de France ! Une Journée Mondiale de l?Alsace ! Puisqu'ils créent déjà des Journées Mondiales pour tout et n?importe quoi, ils vont finir par créer la Journée Internationale des Journées Mondiales, la Sainte Patronne de ces fêtes. Une journée pour rien, où tu as le droit de célébrer que dalle, une journée sans engagement, sans mobile.»

Mathieu a l'art de réinventer les Journées extra ordinaires, toutes engendrant rivalités, jalousies et incompréhensions... une Journée mondiale de la lenteur, la Journée Internationale de la Corse, quitte à valider aussi la Journée mondiale de l'audition, la Journée mondiale du pied, la Journée mondiale de la procrastination : « Vingt ans que tu l'as créée et vingt ans qu'on ne parvient pas à la célébrer à force de la remettre au lendemain la veille du jour J. Cette année c'est le 25 mars et je ne veux pas qu'on se loupe, compris ! »

Mathieu a l'art de manipuler le bon peuple : Le rituel marié au festif évoque les Dyonisies, d'où l'aspect liturgique de ses dénonciations ! Il est un hérétique, l'auteur de ces textes ! Il pratique le culte du fils de Zeus qui, depuis l'antiquité, permet de créer des évènements singuliers pour la population soumise à la tyrannie ; ces jours-là, elle se solidarise et en oublie les outrances pour y noyer préoccupations, rivalités, aberrations !

Sans une véritable couleur locale, sans description de la gestuelle, sans tics d'expression, sans phrasé, sans rythme, sans la musique des mots -leur habillage et déshabillage et leur musique régionale-, sans métaphores, pas de représentativité de l'image, pas de style personnel ! Toute cette grâce allusive et efficace vous sera offerte si vous participez à cette journée nationale de l'art d'écrire de Mathieu tout en finesse et en sous-entendus !

Quand le narrateur, face à la toile muette de son réseau préféré, « croise le déchaînement de (tous) ces éléments, il s'interroge : « ne serait pas également la Journée internationale de la contrariété? » Une de plus parmi tant d'autres aussi inutiles que vaines et incohérentes!

Celle que nous lui offrons ne restera pas vaine, grâce à vous lecteurs, elle peut devenir le signe de la consécration qu'il a tant réclamée, avec toujours des mots d'excuses, sollicitant ses amis et leur vote, alors pourquoi le contrarier ?



Texte protégé et déposé
sur le site iPagination 






;-)  Lilou, de ta petite fée !

vendredi 26 septembre 2014

LOŸS ET JOËLLE PÉTILLOT, L'AMOUR, L'ART ET LA TRANSMISSION - DU BONHEUR EN ÉCHO




ÉMOTION, BONHEUR, HONNEUR POUR VOTRE ÉCHO


MERCI DU FOND DU CŒUR



Cliquez sur ce violoniste dessiné par Loÿs Pétillot pour découvrir également son talent et son humour de plume





Puis cliquez maintenant sur ces si jolis traits esquissés de l'amour d'un père pour sa fille émerveillée et heureuse, et ainsi découvrir mots et passions de la petite Joëlle Pétillot devenue grande !







Tous droits réservés 
sur ces deux dessins de l'artiste Loïs Pétillot